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« Nos établissements sont des laboratoires d’un vivre ensemble autrement »

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La loi du 2 janvier 2002 n’a qu’à peine modifié les relations de pouvoirs entre les professionnels et les usagers des établissements sociaux et médico-sociaux, déplorent Roland Janvier et Yves Matho, directeurs d’institutions, dans la quatrième édition de leur ouvrage « Comprendre la participation des usagers » (1). Pour eux, il est grand temps de passer de la notion de droit à celle de la participation effective des personnes accueillies. Ce qui suppose que les professionnels renoncent à leur toute-puissance.
De réédition en réédition, votre ouvrage sur le droit des usagers débouche sur une représentation très militante de l’institution. Vous interpellez notamment les professionnels sur leur rapport aux usagers.Yves Matho. C’est un fait qu’entre la première édition, en 1999, et cette quatrième version, la tonalité est devenue de plus en plus politique. En 1999, le droit des usagers se présentait comme un droit épars, et nous faisions le pari qu’une modification des relations entre professionnels et usagers devait se réaliser dans une démarche de type politique et non pas instrumentale. En 2002, la publication…
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