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Le garde des Sceaux donne ses consignes pour redynamiser les travaux d’intérêt général

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Chaque année, les juridictions pénales prononcent environ 30 000 peines de travail d’intérêt général (TIG), dont 60 % ne sont pas exécutées faute de places dans les structures pouvant accueillir les personnes en faisant l’objet (1). L’utilisation de cette peine alternative à l’incarcération tend à stagner depuis le début des années 2000, déplore le ministre de la Justice qui, dans une circulaire accompagnée d’un guide méthodologique (2), expose les moyens pratiques pour insuffler une nouvelle dynamique à ce dispositif. Dispositif qui constitue un « levier indispensable à la réinsertion et à la prévention de la récidive », a-t-il indiqué, le 14 juin, lors d’un forum dédié auquel il a convié les élus des collectivités territoriales, les associations, les représentants d’établissements publics et d’entreprises chargées d’une mission de service public en vue de les sensibiliser au TIG (3). Les objectifs affichés par Michel Mercier sont donc de « faciliter notamment la réalisation d’heures de TIG en soirée, en fin de semaine ainsi que dans le secteur rural », et de développer l’offre de TIG, « aujourd’hui trop rare et mal répartie », sur l’ensemble du territoire.Diversifier l’offre de TIGDans…
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