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Le calvaire de Théo

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Au travers d’une fiction très « réaliste », la journaliste Gaëlle Guernalec-Levy dépeint le drame d’un enfant victime de violences répétées dans le cadre familial, mais aussi la cécité de l’entourage et l’impuissance des services de protection de l’enfance.
« 16 février 2009. Théo Rouvier, 4 ans, 1,02 m et 17 kg, va bien. Dans le carnet de santé, le pédiatre a inscrit “bon état général” »… « 12 avril 2009. Théo Rouvier, 4 ans, 1,02 m et 17 kg, recommence à uriner dans son lit la nuit. Il présente deux ecchymoses, l’une entre le vert et le jaune, dans le bas du dos, l’autre, d’un mauve foncé part de la paupière extérieur de l’œil gauche et déborde sur la tempe »… « Lundi 11 mai. Théo Rouvier, 4 ans, 1,02 m et 16 kg, est incapable de se lever. Sa respiration est sifflante, son corps couvert d’hématomes »… Entre la mi-février et le 13 mai, date officielle de son décès, un homme est entré dans la vie de Théo : David, 20 ans, le petit ami de sa maman. Oh, le sort de Théo ne laisse pas totalement indifférentes les personnes qui l’entourent, mais l’inquiétude ne suffit pas. La voisine du dessous s’agace des cris qu’elle entend tous les après-midi ;…
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