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L’action préventive est menacée par le poids des coûts sociaux, alerte l’ODAS

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Relevant la forte augmentation des dépenses sociales départementales en 2010, l’ODAS souligne les efforts de rigueur des conseils généraux, mais craint que ceux-ci ne soient contraints à une approche plus gestionnaire que stratégique de l’action sociale départementale.
En 2010 comme en 2009, les dépenses sociales des conseils généraux remontent en flèche après deux années de moindre augmentation, indique la traditionnelle lettre de l’Observatoire national de l’action sociale décentralisée (ODAS) (1).Un écart grandissantLa dépense nette totale d’action sociale des départements (2) a, en effet, atteint 30,3 milliards d’euros, soit + 5,8 % par rapport à 2009 (voir encadré ci-dessous). Cette progression n’a cependant pas fait plonger les départements dans le rouge, car des « recettes supplémentaires salutaires », issues des droits de mutation (3), sont venues remplir les caisses. Si ces ressources fiscales liées à la forte reprise du marché de l’immobilier « constituent un motif de soulagement », cette situation reste conjoncturelle et ne règle pas « l’écart structurel qui se creuse entre la dynamique des dépenses et celle des recettes », avertit…
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