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« La résistance fonctionne comme un grand consensus moral »

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A l’occasion de la réédition de son ouvrage « Pourquoi le travail social ? », le philosophe et sociologue Saül Karsz porte un regard décalé sur les appels à la résistance et sur la souffrance des professionnels. Face au durcissement de leurs conditions d’exercice, il les invite à « déconstruire les risques imaginaires pour mieux affronter les dangers réels ».
Les appels à la résistance se multiplient depuis quelque temps et dépassent même le travail social. Le journal Lien social a publié dernièrement un numéro spécial intitulé « Comment résister » (1) après le manifeste « Indignez-vous » de Stéphane Hessel (2), qui a rencontré un formidable écho. Ces initiatives vous semblent-elles encourageantes ?Oui, bien sûr. C’est très important que des collectifs, des publications et des personnalités appellent à résister aux pratiques et aux orientations néolibérales. Le travail social n’est d’ailleurs qu’un des espaces d’expression de ladite résistance : la psychiatrie, la petite enfance, la magistrature, l’Education nationale sont aussi mobilisées. Cela dit, il faut essayer de voir à quoi ces appels renvoient et quels sont leurs sous-entendus. La résistance…
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