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A Paris, la mairie du XIIIearrondissement revisite treize ans de productions de la photographe Diane Grimonet, qui témoigne sans voyeurisme du quotidien des personnes précaires.
Noëlle a une quarantaine d’années et en a passé un bon nombre dans une chambre d’hôtel de 10 m2, à Paris, avec ses quatre enfants âgés de 4 à 17 ans. Pendant deux ans, Diane Grimonet a photographié son quotidien. Ses clichés, parus dans de nombreux journaux, ont aidé à débloquer la situation de cette mère de famille. Elle est aujourd’hui relogée dans une HLM, mais a du mal à s’adapter à son grand appartement. On ne sort pas si facilement de la précarité… Ce sont 41regards sur la précarité, grands tirages couleurs ou noir et blanc légendés, que la photographe indépendante, qui collabore régulièrement aux ASH, propose dans une rétrospective de son travail depuis 1998. Diane Grimonet connaît tout de la misère humaine : des hôtels insalubres aux squats de clandestins en passant par les sans-abri et les gens du voyage, elle immortalise la détresse extrême. « C’est malheureux, mais un sujet en amène toujours un autre, ça ne s’arrête jamais », lâche-t-elle. Souvent,…
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