Recevoir la newsletter

Les CADA dans le flou sur leur avenir

Article réservé aux abonnés

L’« assouplissement » du taux d’encadrement dans les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), qui pourra désormais être compris entre 1 ETP (équivalent temps plein) pour 10 (le taux actuel) et 1 ETP pour 15 personnes accueillies, comme le préconise un courrier adressé aux préfets le 21 avril (voir ce numéro, page 19), inquiète les acteurs du secteur. Après l’annonce d’une réduction budgétaire de 4 % en 2011, « on assiste à un détricotage du dispositif social accompagnant la convention de Genève sur le territoire », proteste Pierre Henry, directeur général de France terre d’asile. Les sections syndicales CFE-CGC d’Adoma, de l’AFTAM et de France terre d’asile, qui relèvent que « le montant des prix de journée des CADA était déjà le plus bas des établissements sociaux – 26,20 € en moyenne en 2010 », craignent des effets néfastes sur la qualité de l’accompagnement des personnes. Elles demandent la publication du rapport de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) et du service du Contrôle général économique et financier (CGEFI) diligenté par le ministère. Elles réclament également que les gestionnaires de CADA soient associés à la réécriture de la circulaire de juillet…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Sur le terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur