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T.C. Boyle revisite l’histoire de Victor, enfant sauvage trouvé dans l’Aveyron à la fin du XVIIIe siècle. Ecartant la thèse de l’autisme, l’auteur évoque plutôt un échec dans la phase d’acquisition du langage.
Le film est célèbre. Réalisé par François Truffaut en 1970, il raconte l’histoire vraie d’un jeune garçon retrouvé un soir d’automne de l’année 1797 nu, sale et hirsute, dans une forêt de l’Aveyron. Tout le pays est en émoi. Mais traîné d’orphelinats en salons mondains pour y être exhibé, il finit par être abandonné par ses tuteurs. Il est recueilli par le professeur Jean Itard, spécialiste de la surdité et de ce qui ne s’appelle pas encore l’« éducation spécialisée », qui va se consacrer exclusivement à l’éducation du jeune garçon, qu’il a renommé Victor.La figure de l’enfant sauvage a inspiré plus d’un livre. T.C.Boyle, l’auteur d’América et du Cercle des initiés, n’a donc pas essayé de faire comme s’il découvrait l’histoire pour la faire sienne, comme s’il signait le roman définitif sur cette aventure. Au contraire, il s’est servi de l’accumulation de tentatives, pour mettre en abyme le récit. Qui débute donc dans son précédent…
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