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IMMIGRATION. Réunis en sommet à Rome le 26 avril, le chef de l’Etat français et le chef du gouvernement italien ont demandé à Bruxelles, dans une lettre adressée à la Commission européenne et au Conseil européen, « d’examiner la possibilité de rétablir temporairement le contrôle aux frontières intérieures » des Etats membres de l’Union européenne (UE) « en cas de difficultés exceptionnelles ». Une demande qui intervient après l’arrivée en France de milliers de migrants tunisiens, qui ont d’abord transité par l’île de Lampedusa où la grande majorité d’entre eux ont reçu un titre de séjour provisoire de la part des autorités italiennes. Actuellement, l’article 23 du « code Schengen » prévoit que seule une menace grave pour l’ordre public ou la sécurité intérieure peut exceptionnellement justifier la réintroduction des contrôles aux frontières, pour une durée maximale de 30 jours éventuellement renouvelable. La question posée est donc de savoir si l’immigration illégale peut constituer une menace grave pour l’ordre public ou la sécurité. La Commission formulera des propositions le 4 mai prochain, en vue d’un premier examen par les ministres de l’Intérieur de l’UE le 12 mai.PJJ. Jean-Louis…
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