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ESAT : pour une concertation loyale sur les tarifs plafonds

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Indignation. Le terme fait florès actuellement, mais au-delà des effets de mode, il reflète très exactement l’état d’esprit de nombreux établissements et services d’aide par le travail (ESAT) depuis l’application des tarifs plafonds, explique Yanick Boulet, directeur général de l’Entraide universitaire, qui s’exprime au nom du Collectif des associations gestionnaires d’ESAT parisiens (1).
« En octobre dernier, Stéphane Hessel réveillait nos consciences avec son merveilleux livreIndignez-vous, nous rappelant notamment que la faculté d’indignation est une des qualités qui fondent l’humain et que, si l’on prend le temps de chercher un peu autour de soi, on trouve souvent quelques sujets dignes de provoquer cette indignation.Administrateurs d’associations gestionnaires ou directeurs d’ESAT, nous ne pouvons nous empêcher, aujourd’hui, en regardant la situation dégradée de nos établissements, de ressentir ce sentiment de colère et d’injustice propre à l’indignation. C’est que nous nous sentons déconsidérés dans notre action et ignorés dans nos revendications.Il y a un peu plus de un an, le désaccord était flagrant,…
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