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« PERMETTRE LA CONSTITUTION DE COMMUNAUTÉS NON ENFERMANTES »

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« Faut-il réhabiliter le travail social communautaire ? », nous interrogions-nous récemment dans ces colonnes (1). Laurent Ott, président de l’association Intermèdes à Longjumeau (Essonne) (2) – qui réalise une action de développement social communautaire concernant plusieurs centaines d’habitants –, apporte sa réponse : la question de la reconnaissance des identités ethniques ou religieuses n’a pas de sens face à une pédagogie sociale ancrée dans la réalité locale et se nourrissant de sa diversité.
« Le terme “réhabiliter” supposerait qu’il y ait eu un âge d’or du travail social communautaire en France, ce qui est largement inexact. L’approche individuelle y règne en effet en maître depuis ses origines, et cette tendance ne fait que se renforcer sous le poids de l’individualisation et de la contractualisation des pratiques inscrites dans les lois.L’éducation populaire a pu constituer, dans ses aspirations, un mouvement relativement proche, permettant une éducation commune et collective à des enfants et des familles de même milieu. Mais aujourd’hui, le secteur s’est grandement…
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