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Les salariés d’Adoma défilent contre la privatisation

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« Non aux licenciements financiers, oui à la mission de solidarité avec les plus démunis », pouvait-on lire sur la banderole brandie en tête d’un cortège de près de 1 000 salariés d’Adoma (650 selon la police) qui manifestaient le 28 mars à Paris, entre le siège de la société d’économie mixte et le ministère du Logement, à l’appel de l’intersyndicale Sud, CFDT, CGT, CFE-CGC, FO, CFTC, UNSA. Les manifestants refusent le plan de restructuration prévoyant 260 suppressions d’emploi et la cession de près de 10 % du parc immobilier, deux décisions prises à l’issue de la « reprise » du gestionnaire de logement très social par la Société nationale immobilière (SNI) (1). Alors que Bruno Arbouet, directeur général d’Adoma, déclarait dans les ASH (2) qu’il n’y aurait pas de « casse sociale », Maamar Chabi, coordinateur de l’intersyndicale, estime que le plan de restructuration n’est « qu’une première phase » et qu’il y aura « encore des licenciements, au rythme des reventes par paquets des foyers aux marchands de sommeil ». En effet, c’est au rôle même des organismes de logement social que l’on s’attaque, clame l’intersyndicale, qui rappelle que l’objectif affiché par la SNI est de retrouver…
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