Publié le : Dernière Mise à jour : 16.09.2017Lecture : 3 min.
Les associations ne décolèrent pas depuis la circulaire du 7 février dernier relative à la campagne budgétaire 2011 des établissements et services relevant de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) (1). Pour Gérard Tonnelet, président du GNDA (Groupement national des directeurs généraux d’association du secteur éducatif, social et médico-social), le pacte entre l’administration et le secteur habilité est rompu.
« En tant que dirigeants d’associations exerçant dans les différents champs de l’action sociale et médico-sociale, nous estimons que la publication de la circulaire du 7 février 2011, à effet immédiat, constitue le coup le plus rude et le plus destructeur donné à des décennies de construction en France de dispositifs d’action sociale visant avant tout la qualité des réponses, le respect des usagers, et l’efficience du service public dans le sens de l’intérêt général.Comment imaginer encore, après la remise en cause d’environ 400 emplois du secteur associatif habilité, sans nullement tenir compte des contraintes d’employeur, et au mépris de la reconnaissance unanime des magistrats de la jeunesse…
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