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Les professionnels prêts à chiffrer la pénurie

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Déterminés à réclamer un « plan d’urgence » pour les services de la Justice, plus de 20 syndicats et associations professionnelles préparent, en vue d’une mobilisation nationale le 29 mars, un état des lieux des moyens manquants. Les constats sont déjà très sombres, notamment pour le suivi des personnes condamnées et la prise en charge des mineurs.
« Un plan d’urgence pour la justice. » C’est ce que réclame la Coordination nationale Justice, qui rassemble plus de 20 syndicats et associations représentant les professionnels de la Justice, dont les magistrats, les avocats, les personnels des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) et de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) (1). Les accusations formulées par le gouvernement à l’encontre du fonctionnement de la chaîne judiciaire, après le meurtre de Laëtitia Perrais en Loire-Atlantique, ont cristallisé les revendications portées depuis un an par les organisations, qui appellent à deux nouvelles journées d’action, l’une, locale, le 28 mars, l’autre, nationale, le 29 à Paris (2). « La seule réponse que nous a apportée le ministère est la mise en place de groupes de travail…
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