Recevoir la newsletter

Les lois instituant le défenseur des droits sont définitivement adoptées

Article réservé aux abonnés

Un an et demi après leur présentation en conseil des ministres (1), la loi ordinaire et la loi organique relatives au défenseur des droits ont définitivement été adoptées par le Parlement le 15 mars. Pour le gouvernement, la création de cette autorité constitutionnelle indépendante « vise à donner plus de cohérence et plus de lisibilité à l’ensemble institutionnel chargé de la protection des droits et libertés, et à doter la nouvelle institution de pouvoirs et de moyens d’action renforcés ». Un enthousiasme que ne partagent ni l’opposition, qui estime que ces textes sont porteurs de « régression » (2), ni les organisations œuvrant pour la protection des droits des enfants ou luttant contre les discriminations (3). Ainsi, les attributions du défenseur des droits s’étendront à celles exercées jusqu’à présent par le médiateur de la République, le défenseur des enfants, la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) et la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE). Des instances qui doivent donc prochainement disparaître. A noter : le contrôleur général des lieux de privation de liberté conserve, quant à lui, son autonomie.La loi organique,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Dans les textes

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur