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Plan social chez Adoma : les syndicats craignent la dégradation des missions sociales

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Bruno Arbouet, directeur général d’Adoma (ex-Sonacotra), est catégorique : « Il n’y aura pas de casse sociale. » Créée en 1956 pour loger les travailleurs migrants, celle qui est devenue une société d’économie mixte – dont le capital est détenu à 57 % par l’Etat et à 28 % par la Société nationale immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts –, gestionnaire d’un grand nombre de structures (1), est en effet en cours de réorganisation.Un plan prévoyant une restructuration, la suppression de 260 postes et la cession de 1 700 logements sociaux, a été présenté le 1er mars à un comité d’entreprise (CE) extraordinaire. Les élus ont demandé l’avis d’un cabinet extérieur, qui ne leur sera communiqué que fin mai. « Nous ne savons pas quels services seront réellement touchés, ni comment vont travailler les salariés qui vont rester. Nous n’avons aucun chiffre sur les économies qui seront réalisées grâce à ce plan », estime Maamar Chabi, coordonnateur de l’intersyndicale (2).Trois rapports d’audit avaient déjà mis en évidence la situation financière très dégradée de l’entreprise (3). La direction d’Adoma justifie ce plan par la dispersion des activités, la chute du taux d’occupation des foyers,…
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