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Petite brèche dans la cité

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Fanny Tondre et Olivier Jobard ont saisi en vidéo et en photo le ressenti de cinq habitants de la cité de Chanteloup-les-Vignes, théâtre de multiples échauffourées urbaines, et où Mathieu Kassovitz avait tourné « La haine » en 1995.
Jusqu’à la fin des années 1960, Chanteloup-les-Vignes était un village tranquille des Yvelines, comptant 2500habitants. La construction de la cité de la Noé, en 1971, a complètement changé la donne. Aujourd’hui, la population de Chanteloup est de 10 000 habitants de 60 nationalités différentes. En 1995, le tournage dans la cité du film La haine, de Mathieu Kassovitz, a marqué l’image de cette banlieue : violence, drogue, ghettoïsation, malaise d’une génération… au grand dam des habitants attachés à leur quartier. Olivier Jobard a photographié le quotidien de cinq d’entre eux, tandis que Fanny Tondre les a filmés, pour proposer Chanteloup, ma France, un web-documentaire qui entre dans la grille « Portraits d’un nouveau monde », proposé par le site Internet de France5. Arrivé à Chanteloup il y a quarante ans, Mohamed trouve qu’« il n’y a pas beaucoup de choses à faire, à part le football… mais on est bien ici ». Amina,…
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