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Les centres de rééducation professionnelle en sursis ?

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Les centres de rééducation professionnelle jouent un rôle particulier dans l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés en proposant des formations qualifiantes adaptées dans le cadre d’un accompagnement médico-social. Mais, peu nombreux et inégalement répartis sur le territoire, ils sont mal identifiés et connaissent des difficultés de recrutement, accentuées par le désengagement progressif de l’Etat.
Tout le monde s’accorde sur le caractère incontournable de la formation pour améliorer l’insertion professionnelle des personnes handicapées. Dans la palette des outils existants, les centres de rééducation professionnelle (CRP) offrent des formations sur mesure plus longues (de dix à trente mois), mais forcément plus chères que les formations classiques. Un coût qui suscite régulièrement des interrogations sur la légitimité de ces établissements singuliers fi­nancés par l’assurance maladie (voir encadré, page 29) : « Depuis une vingtaine d’années, les différents partenaires sont invités de façon plus ou moins explicite à privilégier d’autres solutions », déplore Yannick Delaunay, formateur au CRP Suzanne-Masson à Paris (XIIearrondissement)…
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