Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Par : É. V.Lecture : 1 min.
Pour célébrer son quart de siècle, le Groupe SOS a demandé au photographe Reza de réaliser 25 ? portraits de personnes ayant réchappé à la détresse, notamment grâce à un suivi social.
« On n’imagine pas comme il est plus difficile de se soigner en situation de précarité », témoigne Jean-Michel, 45 ans. Lorsqu’il débarque de la République démocratique du Congo en France, il tombe malade. Il (sur)vit en squat, jusqu’à ce que le Groupe SOS le fasse bénéficier d’un appartement de coordination thérapeutique. Grâce aux médecins, aux psychiatres, aux kinésithérapeutes, son état de santé se stabilise. Sur la photographie, assis dans son salon, il feuillette sereinement un livre d’art… Son portrait fait partie d’une série de 25clichés que l’on découvre au fil des pages de Personne n’est au bout de son histoire. Ils représentent vingt-cinq ans de lutte contre toutes les formes d’exclusion. Le Groupe SOS, qui rassemble 180établissements d’accueil, de soins, d’hébergement, d’insertion, d’éducation et de formation professionnelle, a fait appel à Reza, photographe renommé, pour immortaliser des personnes qui, notamment grâce à l’accompagnement social, ont…
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