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« Il ne peut y avoir de désobéissance sans collectif »

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Ils ne veulent pas faire le « sale boulot » que l’on attend d’eux. Ils, ce sont ces agents des services publics qui ont décidé de résister, de désobéir au rouleau compresseur de la réforme de l’Etat. La journaliste Elisabeth Weissman a enquêté sur eux dans son livre « La désobéissance éthique », préfacé par un certain Stéphane Hessel…
Comment vous êtes-vous intéressée aux « désobéisseurs »?C’est venu d’un sujet à la radio sur un professeur des écoles qui avait écrit à son inspecteur d’académie. Il lui signalait que, en conscience, il n’appliquerait pas des réformes qui, selon lui, entraînaient une déconstruction de l’école publique républicaine. Cet acte de désobéissance ouvertement proclamé m’a beaucoup intéressée. Il y a eu aussi l’Appel des appels, dans le lancement duquel j’étais impliquée, qui a constitué une caisse de résonance des désespérances sociales constatées par les agents des services publics. Il m’a semblé qu’il y avait là quelque chose en train d’émerger en opposition au néolibéralisme actuel et à ses effets désastreux, notamment au travers de la révision générale des politiques publiques.A-t-on une idée de l’ampleur du mouvement ?Chez…
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