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Le Centre d’analyse stratégique formule des préconisations pour une prévention précoce non stigmatisante

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Cinq ans après la publication controversée de l’Inserm sur les troubles de conduite chez l’enfant et l’adolescent (1) et quelques semaines après la présentation du rapport de l’ancien secrétaire d’Etat à la justice, Jean-Marie Bockel, sur la prévention de la délinquance des jeunes qui prône un « repérage précoce des enfants en souffrance » (2), le Centre d’analyse stratégique se penche sur la prévention précoce. Dans la note qu’elle vient de publier (3), l’instance ne nie pas les interrogations éthiques soulevées par cette notion, mais estime dommage que « malgré les dernières réformes, les services sociaux interviennent majoritairement au sein des familles quand les difficultés éducatives et familiales sont installées, et que le danger sanitaire et social est avéré ». D’autant plus que les expériences étrangères, notamment anglo-saxonnes (4), invitent à s’interroger sur la pertinence d’une politique plus ciblée que celle, dite « universaliste », qui est appliquée en France à travers, par exemple, le suivi pendant la période prénatale ou les réseaux d’écoute, d’appui et d’accompagnement des parents.Une libre adhésion des parents aux dispositifsLe Centre d’analyse stratégique définit…
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