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« L’éducation doit être prioritairement parentale »

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Disparition du ministère dédié à la famille, volonté accrue de punir les parents défaillants… Autant de signes, selon Jean-Pierre Rosenczveig, président du tribunal pour enfants de Bobigny et de DEI France, de l’absence d’une réelle politique de soutien à la parentalité. Il plaide pour que l’on clarifie les responsabilités parentales et que l’on aide les parents à les assumer.
Alors que Jean-Marie Bockel, le secrétaire d’Etat à la justice, dresse le constat d’une « parentalité en berne », la famille et l’enfance disparaissent des portefeuilles ministériels. N’est-ce pas pour le moins contradictoire ?De la part de ce gouvernement, je suis en effet surpris de la suppression d’un ministère de la Famille, quand on nous serine l’importance de cette dernière comme cellule de base de la société et celle des parents dans la structuration et l’accompagnement des enfants. Cela signifie que l’on n’entend traiter ces questions que sur le registre de la répression, lorsque des parents auront été plus ou moins défaillants, mais qu’on ne s’attachera pas à réunir les conditions de la mise en œuvre de l’exercice des responsabilités parentales. A savoir identifier…
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