L’Assemblée des communautés de France dresse un panorama de l’action sociale intercommunale
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Publié le : Dernière Mise à jour : 11.09.2017Par : ÉLÉONORE VARINILecture : 2 min.
La communauté de communes du pays de Colombey et Sud Toulois (Meurthe-et-Moselle) regroupe 40 communes et rassemble 11 500 habitants. Son pôle de développement social, composé d’une vingtaine de membres et représentant près de 10 % des dépenses de fonctionnement de la communauté, a ouvert au fil des ans un service de soins infirmiers à domicile et un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), mis en place des chantiers d’insertion et créé un relais assistantes maternelle… Derrière ce pionnier, peu de territoires s’étaient lancés dans l’action sociale intercommunale jusqu’à sa reconnaissance législative dans la loi de cohésion sociale du 18 janvier 2005 (1). Si elles ont longtemps fait hésiter les élus – mise en œuvre trop complexe, trop coûteuse, résultats décevants… –, les politiques sociales initiées par les communautés se multiplient aujourd’hui.D’où l’intérêt de l’étude nationale que publie l’Assemblée des communautés de France (AdCF) pour mieux comprendre la montée en puissance de l’action sociale communautaire et anticiper son évolution (2). Ce panorama révèle son hétérogénéité, tant en termes de compétences transférées que d’outils développés. Premier…
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