Lutte contre la pauvreté et l’exclusion : les pistes de travail de Roselyne Bachelot
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Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 4 min.
Le 30 novembre, Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, a clos l’année européenne 2010 de lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Un événement qui a eu le mérite de « réunir tous les acteurs engagés dans l’aide aux plus démunis et d’établir un diagnostic afin de revisiter les politiques publiques », a rappelé François Soulage (1), « ambassadeur » de l’année européenne et président du Secours catholique, dans une interview accordée le 1er décembre au journal La Croix. Désormais, l’objectif de la ministre est de « renforcer et de pérenniser les politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion [et] de travailler à leur mise en œuvre ». Pour ce faire, elle a formulé des pistes de travail.Tout d’abord, il faut « améliorer l’information et la transparence sur notre politique d’insertion », a martelé Roselyne Bachelot. Et, pour y parvenir, il faut mieux observer, afin que tous les acteurs concernés soient « plus réactifs, avant que la détresse ne devienne irréversible ». Une mission qui revient à l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (ONPES), à qui la ministre a demandé de lui fournir des « indicateurs [de pauvreté] plus réactifs…
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