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Rompre, puis renouer

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Deux universitaires décortiquent l’approche éducative, en deux temps, mise en œuvre autour des mineurs multirécidivistes.
Extirper les jeunes délinquants de leur lieu de vie habituel considéré comme pathogène, puis, après une prise en charge intensive limitée dans le temps, aider les intéressés à reprendre pied dans leur espace familial et social d’origine : telle est la logique d’intervention auprès de mineurs multirécidivistes mise en œuvre par les centres éducatifs renforcés (CER) et leurs services de suite, dits « services d’adaptation progressive en milieu naturel » (SAPMN). Cette dialectique rupture-lien est au cœur de la recherche-action présentée par Halima Belhandouz, maître de conférences en sciences de l’éducation, et Alain Vulbeau, professeur des universités dans la même discipline. Le travail qu’ils ont réalisé en 2001-2002 au moment où deux CER, situés dans l’Isère et dans la Drôme, ouvraient un service de suite, braque plus particulièrement le projecteur sur ces innovations assez méconnues que sont les SAPMN. Structures intermédiaires qui assurent un accompagnement post-CER, ils visent à reprendre et à conforter les multiples…
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