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Un rapport pointe l’impuissance de la politique de la ville à résoudre les difficultés des quartiers défavorisés

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La loi du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine – qui a fixé des objectifs de réduction, sur cinq ans, des écarts de développement et des inégalités sociales entre les quartiers urbains en difficulté et le reste du pays –, n’a pas, en définitive, réussi à endiguer la pauvreté et le chômage dans les banlieues. Les conditions sociales et de développement des cités se seraient même parfois dégradées. Tel est le sombre tableau dressé par le comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques de l’Assemblée nationale, dans un rapport rendu public le 28 octobre par les députés François Goulard (UMP) et François Pupponi (PS), et consacré à l’évaluation des aides en faveur des quartiers défavorisés (1).Des signes « fragiles » d’amélioration« La situation n’est dans l’ensemble pas meilleure qu’en 2003 », ont constaté les huit députés composant le comité. « La pauvreté et le chômage demeurent dans les quartiers sensibles à des niveaux élevés, sans amélioration réelle par rapport au reste du pays. » En outre, « les résultats scolairesen zone urbaine sensible [ZUS] accusent un retard important par rapport aux moyennes nationales, qui n’a…
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