Le Conseil national du sida reste critique à l’égard du futur plan « VIH/sida »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 3 min.
« Des avancées majeures » en matière de prévention et de dépistage, ainsi que dans la prise en charge médicale et le traitement prodigué, mais « une mise en cohérence [de l’ensemble] qui reste à construire et à rendre lisible ». Révisé, le projet de plan national 2010-2014 de lutte contre le VIH/sida et les autres infections sexuellement transmissibles (1) trouve davantage grâce aux yeux du Conseil national du sida (CNS) qu’en juin dernier (2), sans toutefois emporter son adhésion.Ainsi, dans un avis rendu le 18 octobre, l’instance se félicite de la prise en compte par le ministère de la Santé de plusieurs de ses recommandations émises il y a quatre mois, notamment celle relative à la politique de dépistage du VIH en France. Mais elle ne s’en contente pas. En particulier, pour le conseil, l’articulation entre prévention, dépistage et prise en charge médicale demeure « peu lisible, sinon introuvable », dans le plan. Alors que faire converger les approches dans une « vision stratégique globale » est une priorité.S’agissant spécifiquement de la prévention, le CNS juge « hésitante » la stratégie en la matière, qui devrait faire la part belle au « concept de prévention combinée ». Et ainsi…
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