Recevoir la newsletter

LIVRE

Article réservé aux abonnés

QUESTIONS D’INTÉGRATION. Jusqu’en 1998, l’internat du Nord où l’auteur a travaillé comme éducateur spécialisé n’avait jamais accueilli aucun mineur isolé étranger. Six ans plus tard, 857 auront été admis et accompagnés par l’établissement. L’arrivée de ce nouveau public a conduit les équipes éducatives du foyer à s’interroger sur leur rôle et, notamment, sur les moyens à mettre en œuvre pour que ces jeunes puissent s’intégrer dans la société française. Aujourd’hui conseiller juridique dans un établissement médico-social et formateur de travailleurs sociaux, Francisco Mananga revient sur ces questionnements. A partir de l’étude qu’il a réalisée en 2006 auprès d’un échantillon de 10 jeunes alors âgés de 17 à 19 ans – deux filles et sept garçons originaires d’Afrique subsaharienne, ainsi qu’un jeune Albanais –, l’auteur met en relation les motivations dont les intéressés font état au départ et leur plus ou moins grande propension à adopter les codes de leur société d’accueil. Ainsi, ceux qui viennent en France dans l’idée de repartir dès qu’ils auront fait fortune sont peu enclins à faire des efforts d’adaptation. Pour autant, l’attachement des mineurs isolés étrangers à leurs origines…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Culture

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur