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… tandis que l’IGAS prône une clarification de leurs relations avec Pôle emploi au bénéfice des « jeunes des quartiers »

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« Malgré les objectifs prescrits par la loi de rénovation urbaine du 1er août 2003 et les dispositifs engagés après la crise des banlieues de 2005, les écarts de chômage ne se sont pas réduits entre les zones urbaines sensibles (ZUS) et le reste des agglomérations avant le retournement conjoncturel de 2008. » « Ces écarts tendent [même] à s’aggraver depuis », constate l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) dans un rapport récemment rendu public (1). Cet échec s’explique par plusieurs facteurs qui doivent conduire l’Etat « à réinvestir cette priorité », considère la mission, qui a examiné entre novembre 2009 et février 2010 la manière dont sont accompagnés vers et dans l’emploi les jeunes de moins de 26 ans résidant en ZUS, notamment dans les 215 quartiers prioritaires du plan « Espoir banlieues ».Renforcer le pilotage des actionsPour l’IGAS, l’accès à l’emploi de ces jeunes mérite ainsi d’« être réaffirmé et suivi comme une priorité nationale » pour parvenir à une réduction importante des écarts entre ces quartiers et le reste des agglomérations. Au sein de l’Etat, le pilotage de cette politique doit être unifié et confié, au niveau national, au ministre chargé de l’emploi,…
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