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Une réorganisation à plusieurs inconnues

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Si la nouvelle configuration du Conseil supérieur du travail social tend à en faire une instance plus dynamique et plus réactive, sera-ce au prix d’une perte de l’indépendance qu’il a, de fait, acquise ? Certains des choix effectués suscitent quelques inquiétudes…
Resserré, cadré, structuré, le Conseil supérieur du travail social (CSTS), réinstallé pour une septième mandature de cinq ans (contre trois auparavant), change de visage (voir page 39). Ce lieu d’échange qui a fonctionné jusqu’ici en lien étroit avec le secteur professionnel semble appelé à devenir un outil opérationnel, repositionné sur les pratiques professionnelles et les politiques sociales, et dont on attend expressément des analyses, des avis et des propositions. Une plus grande visibilité et reconnaissance, donc, de cette instance, à certains moments négligée par les ministres, mais qui s’accompagne aussi d’une demande de résultats plus pressante et d’un contrôle plus fort ; soit une évolution bien dans l’air du temps. Le CSTS, en tant qu’organe de réflexion et de valorisation du travail social, en sortira-t-il renforcé ? Tout dépendra sans doute de la capacité de ses membres…
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