« Les appartements de coordination thérapeutique [ACT] sont une réponse très adaptée à la nécessité de se soigner dans un moment de grande précarité », explique Geneviève Baraton, chef de service à l’Espace Rivière, qui gère ce type d’établissements à Paris dans le cadre de l’association Aurore. « Ce sont des outils légers qui permettent des prises en charge très diverses en alliant les aspects médical et social », poursuit le docteur Guy Sebbah, directeur général du secteur « dépendance » de l’association SOS Habitat et soins. « Ils offrent la possibilité de rebondir et de retrouver une place dans la société », observe Patricia Coradetti, chef de service au Logis de l’Amitié, à Nantes, qui accueille 14 personnes en ACT. « Ils pe
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