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L’UFAT souhaite mettre fin aux discriminations

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Ce sont 50 revendications, pas moins, que l’Union française des associations tsiganes (UFAT) (1) a remises au président de la République, le 22 septembre, à l’occasion d’un entretien avec son cabinet. Partant du constat que l’ensemble de l’appareil d’Etat est mobilisé contre elles pour « mettre fin à des éléments clés de [leur] culture voire [les] éradiquer de la société française », les associations de défense des Roms, Sintis, Gitans catalans, Gitans andalous, Yéniches – tous ces groupes que l’on dénomme administrativement « gens du voyage » –, ont souhaité frapper fort. La priorité, selon l’UFAT, est l’abrogation de toutes les lois réduisant leur liberté de mouvement, et notamment du carnet de circulation. Déjà dénoncé maintes fois par la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE) comme discriminant envers les gens du voyage (2), ce document doit être visé tous les trois mois par la police ou la gendarmerie. Circuler sans ce carnet est puni d’une peine de prison.Par ailleurs, s’appuyant sur un système qui fonctionne en Espagne, l’UFAT demande la mise en place d’un « Conseil des sages » composé de 20 membres du gouvernement et de 20 représentants…
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