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Centres de consommation de drogues : les élus divisés sur une éventuelle expérimentation

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Face à l’opposition exprimée cet été par François Fillon à l’ouverture des centres d’injection de drogue (1), l’association « Elus, santé publique et territoires » – qui réunit des élus d’une soixantaine de villes, de tous bords politiques – oppose une approche pragmatique. Pendant un an, elle a mené un séminaire sur le sujet avec des auditions d’experts et d’acteurs de terrain, des visites de salles de consommation à Bilbao (Espagne) et à Genève (Suisse). Les élus s’appuient également sur les recherches de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) commandées par Roselyne Bachelot (2) pour étayer leur argumentation : les centres de consommation, associés à « une palette complète de prise en charge de la toxicomanie », permettent une baisse des contaminations, des infections et des overdoses, un accès aux soins somatiques et psychiques et un accroissement du nombre de sevrages.Les édiles mettent aussi en avant une diminution des atteintes à l’ordre public et une plus grande tranquillité dans les quartiers voisins des « salles de shoot », par rapport à ceux où la drogue se consomme dehors. « Il ne s’agit pas de sortir les seringues des rues, mais d’accompagner…
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