« FAIRE ÉVOLUER LE CADRE JURIDIQUE DES SÉJOURS DE RUPTURE »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 18.09.2017Par : M. LB.Lecture : 3 min.
L’association OSER (Organisateurs de séjours éducatifs dits « de rupture ») s’apprête à demander aux ministères de valider un cahier des charges qu’elle a élaboré en juin dernier. Explications de Nicole Myrek, sa présidente, directrice de la structure expérimentale Second souffle.
OSER (1) est née en juin 2009. Quels sont ses objectifs ?Des acteurs autorisés à organiser des séjours éducatifs dits « de rupture » en France et à l’étranger – des établissements, quelques rares lieux de vie ou des structures expérimentales au titre de la loi 2002-2 (2) – ont souhaité se fédérer au sein d’une association. Sur la quarantaine d’organisateurs en France, dont certains sont autorisés, OSER compte une quinzaine d’adhérents. Nous nous sommes donné pour objectifs de promouvoir nos missions dans le champ de la protection de l’enfance, de créer et d’animer un pôle de recherche et de formation, d’apporter une aide technique et juridique à la création de nouvelles structures et de participer à l’évolution du cadre juridique et législatif des séjours de rupture. C’est à ce titre que, après avoir défini une charte déontologique en 2009, nous avons relancé les travaux…
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