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Le voyage inabouti

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Sous forme d’un journal intime, Alexandre Jollien explore un chemin de pensée vers le détachement, pour tenter de se libérer du chaos passionnel de l’existence, ainsi que du poids de son handicap personnel.
Il est jaloux du corps des jeunes hommes de son âge. Comparaison, doute, colère, souffrance. Il est en proie aux passions, et ça le ronge. L’auteur-narrateur parle parfois à la troisième personne, il s’observe tenir son journal, ce « Traité des passions » qu’il écrit « un peu pour rendre service, beaucoup pour [se] soigner ». Car Alexandre Jollien, auteur reconnu, qui ne cesse de prôner – dans ses livres ou lors de ses conférences – le détachement, est en fait obsédé par ses « quintes passionnelles ».Mais ce n’est pas tout. Jollien a un second maître, confie-t-il : son handicap. Infirme moteur cérébral, il a vécu dix-sept ans dans une institution spécialisée. C’est ce qui l’a mené, adolescent, à questionner les philosophes. Comme on lit un guide de survie, il a cherché une sagesse pratique, qui l’aide à vivre avec son handicap, et tout simplement avec ses faiblesses d’être humain. Après Eloge de la faiblesse (Ed. Cerf, 1999), Le métier d’homme…
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