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Plaidoyers pour les « victimes oubliées » de la réforme des retraites

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Les travailleurs pauvres et les anciens travailleurs migrants sont les « victimes oubliées de la réforme des retraites », dénoncent plusieurs associations. En portant à 62 ans l’âge minimum de cessation d’activité, le projet de loi « réserve une très mauvaise situation » aux salariés qui ont connu de longues périodes de chômage ou subissent l’emploi précaire, relève le Mouvement national des chômeurs et précaires. Il réclame le maintien du droit au départ en retraite à 60 ans, la prise en compte des dix meilleures années de travail pour le calcul de la pension ainsi que des droits à des trimestres de retraite pour les personnes au RSA ou non indemnisées.Par ailleurs, en limitant les mesures dites de « pénibilité » aux seules personnes en incapacité permanente très sévère, la réforme écarte les anciens travailleurs migrants vivant en France, qui souvent cumulent les handicaps : nombre d’entre eux sont « usés et sans travail, survivant avec des prestations de chômage ou d’assistance dans l’attente de pouvoir liquider leurs droits », affirment le GISTI, le Catred et l’ATMF (1). Beaucoup sont entrés tard sur le marché du travail français et ont, en outre, connu, « sous le coup des discriminations »,…
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