Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Par : É. V.Lecture : 2 min.
Depuis près de dix ans, l’assistante sociale Michèle Pettazzoni égrène en vers et en rimes des poèmes souvent mélancoliques, influencés en grande partie par son vécu professionnel.
Michèle Pettazzoni, assistante de service social depuis 1974, travaille actuellement en centre de rééducation fonctionnelle. Elle a aussi exercé en interentreprise, en hôpital psychiatrique, auprès de sourds, d’enfants handicapés mentaux, etc. Elle a toujours porté en elle le goût de l’écriture, mais ce n’est qu’il y a une dizaine d’années qu’elle s’est décidée à prendre la plume et à partager ses poèmes. Ses rencontres professionnelles lui ont donné l’inspiration pour nombre de ses œuvres. « Quand je reçois un choc ou ressens une émotion, il y a des choses qui font écho en moi, que j’ai besoin de retraduire une fois rentrée à la maison, en vers », explique-t-elle. Cela donne d’émouvants poèmes sur le handicap, la maladie, l’immigration, les enfants des cités, les sans-abri, la séropositivité, l’autisme… « Il est vrai que ma réalité et ma lucidité font pencher mes textes du côté obscur. Et je trouve qu’il y a davantage à dire sur la mélancolie et le désespoir que…
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