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ENFANTS DE ROMS ET DE GENS DU VOYAGE. « S’il est vrai que certains enfants [rom] mendient et, sous la contrainte d’adultes, peuvent être conduits à commettre des actes délictueux […], leur droit premier [est d’être] protégé », affirme la défenseure des enfants dans un communiqué du 31 août où elle rappelle « l’obligation impérative » pour la France de respecter « sans discrimination » la Convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989 qu’elle a ratifiée dès août 1990. A l’heure de la rentrée scolaire, Dominique Versini dénonce également les difficultés de scolarisation des « enfants de voyageurs, dont les familles sont françaises » : ils doivent « bénéficier de la scolarité commune, avec les adaptations indispensables liées à l’itinérance, au stationnement précaire et à l’accompagnement parfois nécessaire pour eux-mêmes et leurs parents ». « Le droit français est clair, insiste la défenseure, rien ne peut s’opposer à la présence d’un enfant dans une école, même si les conditions du stationnement de ses parents sont contestables ou illégales. »
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