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Des chemins qui mènent aux Roms

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Au Centre lyonnais d’histoire de la résistance et de la déportation, les clichés de Bruno Amsellem dévoilent le parcours chaotique de familles de Roms à travers l’Europe, et leurs conditions de vie misérables.
Voilà trois ans, le Centre d’histoire de la résistance et de la déportation de Lyon présentait une exposition sur l’internement, en France, des populations tsiganes entre 1939 et 1946. Il propose à présent de s’interroger sur l’histoire contemporaine de ce peuple, à travers les photographies de Bruno Amsellem qui retracent le parcours de trois familles de Roms en exil permanent. La polémique actuelle sur les expulsions donne un éclairage nouveau à l’exposition « Voyages pendulaires, des Roms au cœur de l’Europe ». Bruno Amsellem, quant à lui, s’intéresse au sujet depuis l’évacuation du bidonville de Vénissieux en 2007. Il a ensuite voulu savoir ce qu’il advenait de ces gens et ce qui les pousserait, probablement, à quitter leur pays de nouveau pour revenir vivre ici dans des conditions dignes de favelas de pays sous-développés. Il a suivi Tarzan Covaci, sa femme, Crijma, et leur petite fille, Izabela, lors d’un retour en Roumanie, à travers…
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