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« LE QUARTIER DE LA VILLENEUVE N’EST PAS A L’ABANDON ! »

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La surenchère sécuritaire à laquelle ont donné lieu les violences survenues en juillet dernier dans le quartier de la Villeneuve à Grenoble (1) a renforcé le sentiment d’abandon de ses habitants et mis à mal le travail éducatif et social qui était engagé localement, témoigne Monique Berthet, directrice du service de prévention spécialisée de l’association Codase (2).
Comment les « événements » de juillet ont-ils été vécus à la Villeneuve ?Dès le lendemain de la flambée de violences qui a suivi la mort du jeune braqueur du casino d’Uriage tué par la police, je suis allée avec l’équipe d’éducateurs de rue au-devant des habitants, encore sous le choc, pour leur offrir un espace de parole. Et durant les jours suivants, alors que la médiatisation s’amplifiait, ceux-ci ont pu exprimer leur souffrance et leur désespoir face à cette nouvelle mise à l’index du quartier (3). Ils y sont attachés et ne se retrouvent pas dans la représentation réductrice qui en a été faite par les responsables politiques, les radios et les télévisions. D’où leur incompréhension et leur sentiment d’injustice…
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