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Indignation et colère après les mesures répressives annoncées par le gouvernement

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Les associations et les acteurs de terrain dénoncent la mise à l’index des Roms et des gens du voyage, des personnes d’origine étrangère et des plus démunis. Une logique d’exclusion qui va à l’encontre du lien social et de l’objectif même de sécurité.
Le tour de vis sécuritaire du gouvernement choque même au-delà des frontières. Les experts du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU, réunis les 11 et 12 août à Genève, ont déploré une « recrudescence notable de la xénophobie » et une « stigmatisation de l’immigration comme cause de tous les maux » en France (1). Des inquiétudes qui font écho à l’indignation, voire à la colère des associations et des acteurs de terrain après les mesures répressives annoncées par Nicolas Sarkozy à l’encontre des Roms et des gens du voyage, mais aussi des délinquants, notamment ceux d’origine étrangère (voir ce numéro, page 5). Des annonces faites en termes brutaux, voire belliqueux – Nicolas Sarkozy parle de « guerre contre les trafiquants et les délinquants » –, fermant la porte à toute réflexion de fond et intervenant à la suite de deux faits divers survenus en juillet : les violences…
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