Recevoir la newsletter

« Le RSA interroge le travail social »

Article réservé aux abonnés

Si le revenu de solidarité active (RSA) – sans constituer une solution miraculeuse pour sortir de la pauvreté – représente un progrès, son efficacité est encore compromise par de nombreux freins pour les bénéficiaires et plusieurs difficultés pour les institutions confrontées à la complexité du dispositif. Entretien avec Geneviève Besson, directrice de la lutte contre l’exclusion du conseil général de l’Eure, à ce titre membre du comité national d’évaluation du dispositif.
Un an après la généralisation du RSA, où en sont les travaux du comité d’évaluation ?Un groupe de travail, piloté par la caisse nationale des allocations familiales, est dédié aux effets du dispositif sur la pauvreté, à la question du non-recours et à celle des droits connexes. Un autre, mené par la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES), se penche sur les effets du RSA sur le marché du travail. Un troisième, sous la houlette de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), s’occupe de la gouvernance et de l’accompa­gnement. A travers ces trois groupes, le comité a, tout en analysant la montée…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur