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Insertion des Roms : les collectivités à tâtons

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Depuis quelques années, des milliers de Roms de Roumanie et de Bulgarie se sont installés en France, en quête d’un avenir meilleur. En raison de leurs difficultés d’accès au séjour, à l’emploi et aux prestations sociales, nombre d’entre eux échouent dans des bidonvilles ou sont reconduits dans leur pays. Localement, pouvoirs publics et associations expérimentent des solutions pour favoriser leur insertion. Mais les familles qui ne peuvent en bénéficier sont condamnées à l’errance.
« Satou nu », signifie « nouveau village » en roumain. Implanté il y a trois ans à Aubervilliers, ce lieu d’accueil comprenant 18 mobile homes est le premier village d’insertion des Roms du département de Seine-Saint-Denis. Depuis, le modèle a essaimé à Saint-Ouen, Bagnolet, Saint-Denis et Montreuil, sous des formes plus ou moins similaires. A Sainte-Luce-sur-Loire, petite commune de Loire-Atlantique proche de Nantes, la municipalité expérimente depuis fin 2009 une approche différente, basée sur l’intégration de dix familles rom dans la ville. Dans le Nord et le Pas-de-Calais, où vivrait un millier de Roms, l’Association régionale d’étude et d’action auprès des gens…
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