Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Par : ÉLÉONORE VARINILecture : 2 min.
Afin d’illustrer deux cents ans de bienfaisance et d’entraide au sein des communautés juives, la Fondation Casip-Cojasor a extrait de ses archives des documents uniques, qu’elle propose de voir au musée d’Art et d’Histoire du judaïsme, à Paris. Et qu’elle a rassemblés dans un ouvrage.
Tsedaka. En hébreu, ce mot signifie « charité », mais aussi « justice ». Il s’impose à tous les juifs, indépendamment de leur statut financier. A travers une exposition et un livre, la Fondation Casip-Cojasor retrace deux siècles d’actions inspirées par cette tradition d’aide au prochain. Des documents émouvants – photos, lettres, affiches, bons d’aide alimentaire – choisis dans les archives de la fondation illustrent le travail accompli pour insérer dans la société les familles pauvres et les immigrés démunis. Le centre social de Sarcelles ; les EHPAD Les Jardins de Marlioz, à Aix-les-Bains, Amaraggi, dans le XIXe arrondissement de Paris, et Claude-Kelman, à Créteil ; le foyer-logement Villa Jacob, à Nice… Aujourd’hui, Casip-Cojasor compte 435 salariés répartis dans quinze services et dix établissements médico-sociaux. Son origine ? Elle date du début du XIXe…
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