Diagnostic du VIH : les modalités d’utilisation des tests rapides sont fixées
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Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
Un arrêté fixe les conditions de réalisation du test rapide d’orientation diagnostique du VIH dans les situations d’urgence. Cette mesure s’inscrit dans le cadre du prochain plan de lutte contre le VIH et les infections sexuelles transmissibles annoncé par Roselyne Bachelot fin 2009 (1), et dont le lancement devrait intervenir cet été, indique le ministère de la Santé dans un communiqué du 9 juin. Pour mémoire, l’instauration des « tests rapides », réclamée depuis 2007 par le Conseil national du sida afin d’améliorer l’offre de dépistage, a fait l’objet de recommandations de la Haute Autorité de santé (2).Le test rapide d’orientation diagnostique peut être utilisé en cas d’impossibilité de réaliser un diagnostic biologique dans des délais compatibles avec la prise en charge dans quatre situations d’urgence : en cas d’accident d’exposition au sang, le test est proposé à la personne « source »; en cas d’accident d’exposition sexuelle, il est proposé aux partenaires ; au cours d’un accouchement, il est proposé à la femme enceinte de statut sérologique inconnu ou ayant été exposée depuis le dernier dépistage à un risque de transmission du VIH ; en cas d’urgence diagnostique d’une pathologie…
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