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Gratification des stages : les associations et les étudiants veulent amender la proposition de loi

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Les associations professionnelles et les étudiants n’ont pas dit leur dernier mot. Le 29 avril, le Sénat adoptait, en première lecture, une proposition de loi visant à déverrouiller l’accès aux stages des travailleurs sociaux en formation. Soutenue par le gouvernement, celle-ci instaure un moratoire de l’obligation de gratification jusqu’au 31 décembre 2012, seule demeurant l’indemnisation des contraintes liées à l’accomplissement des stages(1). Cette solution était aussitôt rejetée par le Collectif national des étudiants en travail social (CNETS) au motif qu’elle allait accroître leur précarité, et accueillie avec des réserves par l’ONES (Organisation nationale des éducateurs spécialisés) et l’ANAS (Association na­tionale des assistants de service social), qui n’y voyaient qu’un « pis-aller ».Après s’être concertées, les quatre associations professionnelles (ANAS, ONES, FNEJE [Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants], France Economie sociale et familiale) et le CNETS réclament aujourd’hui d’être entendues par la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale(2) afin de pouvoir défendre leur proposition d’amendements. Leur demande principale est de raccourcir…
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