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Justice et soin : une articulation complexe

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La loi de 1970, qui interdit l’usage de stupéfiants et permet l’orientation de la personne vers le soin, fête ses 40 ans dans un paysage profondément transformé. La répression des comportements dangereux sous l’emprise de produits psychoactifs se renforce et l’addictologie – qui vise toutes les conduites addictives – se met en place. Dans un tel contexte, les acteurs de la justice et du soin sont amenés à davantage se côtoyer. Ce qui ne va pas toujours de soi.
Une baby-sitter sniffant de la cocaïne, un homme prenant le volant avec son épouse le jour de ses noces après avoir fumé un joint, des jeunes avalant de l’ecstasy lors d’une fête et se mettant mutuellement en danger… Le message de la dernière campagne de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et les toxicomanies (MILDT) et du ministère de la Justice(1) est clair : consommer des stupéfiants n’est pas qu’une « affaire personnelle », cela a des répercussions sur les autres. Pour autant, au moment où se met en place l’addictologie(2), ses spots évacuent l’alcool, tout aussi dangereux. Le message de la campagne souligne en effet que : « La drogue, si c’est illégal, ce n’est…
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