L’Unccas et ATD quart monde pointent les limites du revenu de solidarité active
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : ÉLÉONORE VARINILecture : 1 min.
Le revenu de solidarité active (RSA) fête son premier anniversaire. Le dispositif, jugé « trop compliqué » par l’actuel ministre des Solidarités actives, Marc-Philippe Daubresse, concerne actuellement près de 1,76 million de personnes (voir ce numéro, page 5). Un nombre de bénéficiaires au-dessous de celui escompté, qui encourage le ministre à « simplifier le dispositif ».Pour l’Union nationale des centres communaux d’action sociale (Unccas), la mise en place du RSA comporte plusieurs points positifs. Elle a d’abord incité les conseils généraux, Pôle emploi, les caisses d’allocations familiales et les centres communaux et intercommunaux d’action sociale (CCAS et CIAS) – chargés des demandes voire de l’orientation et de l’accompagnement social des bénéficiaires – à s’engager dans de nouvelles dynamiques partenariales. Dans ce nouveau contexte, la montée en charge progressive du dispositif a permis de contrebalancer les très courts délais de mise en œuvre. L’Unccas reconnaît également la souplesse offerte par le contrat unique d’insertion et l’apport du complément financier pour les travailleurs pauvres. Mais l’efficacité du RSA souffre de la longueur des délais de traitement des dossiers :…
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