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Proposition de loi sur les stages : la pilule est amère

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En suspendant provisoirement l’obligation de gratification, la proposition de loi adoptée par le Sénat pour apporter une solution à la pénurie de stages suscite l’indignation des organisations étudiantes et d’importantes réserves du côté des associations professionnelles et des centres de formation. Le ressentiment est fort parmi l’ensemble des acteurs.
Si elle prétend apporter une réponse immédiate à la pénurie de l’offre de stages dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux privés et ceux relevant de la fonction publique de l’Etat, la proposition de loi adoptée en première lecture par le Sénat et soutenue par le gouvernement, qui veut d’ailleurs la faire inscrire rapidement à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale (voir ce numéro, page 5), est très loin de satisfaire les étudiants et les organisations du secteur. Cette « sortie de crise » par le bas, puisque les étudiants en travail social seraient de fait exclus du bénéfice de la gratification jusqu’au 31 décembre 2012, seule demeurant l’indemnisation des contraintes liées à l’accomplissement de leur stage, est accueillie au pire par la colère et au mieux par la plus extrême…
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