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Les conseils de la vie sociale à l’épreuve de la dépendance

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Manque de candidats, difficultés cognitives, turn-over des résidents…, de nombreux obstacles freinent le fonctionnement des conseils de la vie sociale dans les EHPAD. A tel point qu’il est difficile de parler de participation des résidents dans ce type d’établissements. Certains, pourtant, prennent des libertés avec le cadre législatif pour inventer d’autres formes de démocratie participative et rendre aux personnes âgées leur place de citoyens.
Huit ans après la loi 2002-2 qui consacre la reconnaissance de la participation des usagers à la vie de leur institution, l’exercice de ce droit dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) reste difficile. La loi a pourtant créé un outil, le conseil de la vie sociale (CVS) (voir encadré, page 27), qui vise à associer les résidents et leurs familles au fonctionnement de la structure. Mais « seulement un tiers des directeurs l’ont mis en place », affirme Bernard Hervy, président du Groupement des animateurs en gérontologie. Même constat d’échec pour Alain Villez, conseiller technique « personnes âgées » à l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes…
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